CASANOVA y Manuelita

point n'était besoin de commentaires , il n'est ni de fautes ni de tords , de dus ni de dettes , tout nouveau tout beau , le feu de l'amour emporte au septième ciel , peu à peu l'ardent brasier s'estompe pour ne laisser que des braises qui avec le temps iront agonisants ,jusqu'a devenir poussière , s’amorce alors la chute lente ou rapide , variante dans tout les cas . Notre chapitre d'histoire n'échappait pas aux règles de la comédie de la vie , petit à petit les cartes on étés mises bas pour en finale étaler tout le jeu , il n'y a ni de gagnant ni de perdant , nous sommes personnes adultes et consciencieuses , nous savions tout deux que la distance commençait à se crée depuis déjà un bon bout de temps , cette fameuse distance qui a jouer aussi sa grande part , cette distance qui dès le début a été annoncée , tout comme le reste , dans les entres lignes de nos premiers échanges scripturaux TOUT était déja écrit . de mon coté je ne t'en veux absolument pas et je n'ai aucuns motifs de t'en vouloir , il ne m'est nulles vengeances ou rencoeurs a exhorter , tout comme de délations et autres invectives proférer , ce fut un beau chapitre d'histoire sans trop d'histoires ni litiges , je sais que ton opinion est identique à la mienne. t'enterrer dans ma mémoire , je n'en vois le pour , je ne garde de toi que de bons souvenirs , tu es une fille bien , doublée d'une femme avec un grand F , je ne vais faire éloge tes qualités le message serait alors trop long , ce mot n'est absolument pas un adieu , nous ne nous verrons plus , mais on ne nous a pas couper la langue ni les doigts , fb et le telph seront toujours là, tu pourras toujours compter sur moi en cas de besoin tu me trouveras , voila Patrizia sans rancoeur ni tristesse...... c'était écrit bien a toi Casanova

il neige , tombant par miriades les flocons rendent le paysage triste et nostalgique , c'est l'hiver
il neige tout comme il a neigé hier soir dans mon fort interieur rendant le moral afaibli et découragé de voir mon physique courbé l"échine devant les attaques dues aux consequances d'un vent mauvais .
il a fait froid dans cette rue qui petit a petit prend timidement vie avec pour seul son le crissement des pas dans la neige.
il n'a fait froid dans les soufflets de forge qui m'allimentent en oxygègne , avec pour seul son le sifflement d'une respiration ansimente.
le son melodie de la harpe n'a su m'arracher au creatures de la nuit qui on peuplé mon maige sommeil , je n'ai pu trouver la douceur et le reconfort de ton corps contre le mien , je n'ai ressenti la tendre chaleur qui emane de tout ton etre , mais bien inferieure a celle de ton coeur , abattu par ces levés et couchés pour une quinte de toux .
c'est d' une impuissance nostalgique qui je t'ai entendue partir sans pouvoir te serrer dans les bras .
force m'est de me lever et de lutter , car tout au fond de moi je sais que tu es la , peu etre un peu plus distante pour quelque heures seulement , mais tu es là tant de corps que d'esprit , riche de ta douceur et ta tendresse.
me recouchant apres une enième quinte , dans les brouillards d'un sommeil dérange , j'ai enserrré tes mains et les ai appuyées contre mon vieux compagnon qui me fait vivre depuis tant d'année et que l'on nomme corazon , c'est de par ces gestes simples et vrais que l'on ressent les choses , à la fois la douceur d'une mère , la chaleur d'une amante et la tendresse d'une compagne sincère m(ont transperser et rechauffer tant les soufflets que le coeur , les heures vont s'écouler et mon etat va s'améliorer , je me rendrais alors sur le point le plus haut de cette ville et hurlerai aa vent a plein poumon ces mots qui arriveront jusqu'a toi... JE T'AIME
tant il y aura de force dans ce cri que ce paroles seront multipliée par l'eco et berceront, de cette meme chaleur que tu difuses en mon coprs , le fil des heures de ta journée , ces meme heures qui vont filé et finalement nous nous retrouverons..pour mieux nous aimer.
merci d'exister..... je t'aime