A UN PARENT LOINTAIN
Au petit matin glacé
Par quatre ils les ont massés
Des yeux ils n’ont put se méprendre,
Ce n’était par dur à comprendre !
Ils ont fait une centaines de pas
Refusant un dernier combat.
Contre un mur ils les ont appuyés
Les mains dans le dos liées
Un curé a proféré une dernière prière
Ils ont repensé à leur mère
Leur vie très vite a défilé
Sans aucune pitié
Sans dernière volonté
Au petit matin…….fusillés !