PEUPLE SORDIDE
Dans le fort intérieur
De tout un chacun.
N’y a-t-il des sentiments
Tout a fait différents,
Que l’affichage extérieur
Et les gestes inopportuns ?
L’homme est la ressemblance de ce qu’il pense.
Ceux qui par désoeuvrement
Ont la fatigue de vivre.
Toujours prêt à déblatérer outrageusement
Toujours sur le qui vive…
Ils deviennent sectaires, toujours pire.
Tous ces faux riches,ces nouveaux sourires
Gorgés de sombres réussites.
Aujourd’hui lion,
Demain couillon.
VENEZ la misère vous invite
PAUVRE PEUPLE SORDISE !
Non épris des énigmes de l’art…
Vous ne le comprenez,
Mais, vous me fatiguer !