A UN PAUVRE CON
Me prenant pour ton « ami »
Que de fois n’es-tu venu à crédit.
Mais les débiteurs ainsi font toujours
Tu t’es occulté de la lumière du jour.
A chaque manque de se rencontrer…
La tête tu tournes de l’autre coté !
C’est toi qui de misère crevais ?
Et maintenant ce serait moi le mauvais….
Tu t’es accouplé à une stupide mijaurée
Que naturellement tu as engrossée.
Tu ne sauras ! ta triste progéniture assumé.
C’est la valeur de ton incapacité.
Tu n’as ni ne cherche un peu de travail
De drogue et d’alcool, sur les reins d’autrui, tu ripailles
La vengeance est un plat qui se DEGUSTE à froid
Crois le bien je ne t’oublierais pas…
De ta dette je vais même t’acquitter
MAIS ! bien plus cher je te le ferais décompter.
Moralité… qui prête à l’ami,
Perd ami et crédit !