A RICHARD
Toi le fils d’émigrés polonais
L’enseignant retraité.
Tu respires la gaieté
Pour rendre service tu es toujours prêt
Sur ton violon coule ton archet
Tu interprètes toujours le même couplet.
Tu nous ragailliardiras
Avec ton harmonica.
Mais ne t’attend t-on pour le couvert ?
Tu en es à ton énième dernier verre.
Tu es rond comme une queue de pelle,
Ce n’est pas une situation nouvelle !
Et de ce qu’en pensent les harpies
Tu t’en fout….tu vis ta vie !