L'analyse est très simple..trop de diversités preuve d'instabilité.
juste derriére les fauteuil il y a le living room, toujours aussi charger,mais le mobilier imposant de par son tout autre style, est la patte de Maria, preuve irréfutable du contraste de deux mentalités, le noir et le blanc, pour véritablement se complèter il faut etre totalement opposé.
c'est la seule place ou la marque de Maria est si présente
La cheminée...que n'ai je écris d'odes à ma muse la chirurgienne,devant les flammes crépitant dans l'antre.
que n'ai je lu de livres a la chaleur des braises rougeoyantes
que n'ai je mediter après un calumet obnibuler par les flammes qui léchent les buches
un bon scotch, un feu de bois et un bon calumet
LE FEU DE BOIS
Joli feu de bois
Qui met les pensées en émoi
Les jaunes flammèches
Qui chêne, sapin, bouleau lèchent.
Pour donner une braise rougeoyante
Qui illumine la cendre blanchissante.
Avec comme seule musique ton crépitement.
Corps et âme, tu chauffes de contentement
Bois tendre qui s’enflamme
Ferait brandir un quelconque oriflamme.
Bois dur qui se consume
Souvenirs d’erreurs que l’on ne se résume.
Tant ta couleur est diversifiante.
Tant les pensées sont inconstantes.
Par ton ardeur, l’on est omnibulé,
Ce qui permet de quelque peu rêver.
Tout un chacun perdu dans ses pensées
Revit sa vie bonne ou gâchée.
C’est lorsque tu te meurs
Et qu’émanent tes restes de chaleur
Que l’on se rend compte d’être vivant
Et que tu n’as durer qu’un instant.