MA GUEULE
Lorsque je contemple ce visage usé,
Marqué par le temps qui vite à passé.
Il y à le regret de celle que je n’ai pas eue
La nostalgie des belles heures vécues.
Ces yeux plissés par mille soleils
Cette bouche qui à connu dégoûts et merveilles.
Ce regard profond et explicite,
Qu’aujourd’hui plus de curiosités n’existent.
Ces cheveux qui ne sont tombés
Et qui me font ressembler à un efféminé,
Grâce aussi à ce faciès imberbe.
Voila ce que je vois tous les matins
Et qui est mon calvaire quotidien
La réalité est souvent acerbe
On est comme on est
Souvent il en est ce qu’il en est.
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