Le cabinet
En la solitude de ce lieu d’aisance
Ou l’on se retrouve seul avec comme on pense
Je me processe devant ce miroir
Il n’y a que moi et mon regard
Au ciel je ne puis cracher
Sans que dans la gueule cela me soit retourné
N’étant de ces idiots qui ne veulent que tremper leur lard
Optant pour des relations qui se meurent jamais bien tard
Il ne m’est us ni opignons
D’appliquer la loi des porteurs de pantalon
Je ne suis armé de nulle présomption
Ni enfanatisé par nulle religion
Ne l’ayant demandé je suis arrivé
Je veux en profiter jusqu'à ce que mon cuir commence a sécher
J’applique mes libertés
Sans toute fois sur celle d’autrui aller empiéter
Ou est le bien ou est le mal
Je réfute toute morale
Ne voulant pour et par les conseilleurs
Etre de rancunes et haines redeveurs,
Mes erreurs et mes échecs
Ne me sont que tentatives pour mieux recommencer
Les années ont passés
Qu’est ce que j’ai put ma bosse rouler !
Je n’ai encore la toiture enneigée
Et encore tant de feu dans la cheminée
Bah ! il est temps d’y aller et la chasse tirer
Retour à la société et recommencer a comédier
Salut Casa SPLOUCH