A TOUT CEUX QUI VEULENT LARGUER LES AMARRES
Les feuilles mortes
Se ramassent à la pelle
Écrivait Prévert
Dans notre « vers l’avenir » à l’envers,
Ce sont les désespérés qui appellent
Avant de s’éteindre en cohorte.
Cris des esseulés !
Par trop de solitude,
Court ils ont coupé
À leurs habitudes…
Complaintes des couples séparés
Fraîchement ou par le temps.
Ces orphelins de sentiments
Par nombres ! Vont s’allonger.
Invectives des sans amours
Qui se croient de la chance avoir été châtré.
De ces d’affectivité amputé
Beaucoup ! Plus ne compteront les jours !
.c’est l’automne l’avant morte saison,
Le temps des funestes oraisons.
A ceux qui en oublieront
Parents, amis ou copains !
SACHEZ ! Que JAMAIS ils n’oublieront le chagrin
Mais tout au plus s’en distrairont
O certes la « douleur est un siècle
Et la mort un moment »
POURQUOI vouloir brisé le cercle
Il y aura TOUJOURS de meilleurs instants….. !