POEME POUR une petasse
O bien triste vidoir
Toi qui passe sans nul voir
Tu marches au pas cadencé
Ne rêvasses tu à tout un peloton t’envoyer ?
Le balancement de ton bras
N’est ce la jauge de ton baba…
Tu as beau à chaque enjambée te déhancher
Le galbe se perd tant ton cul a enflé
A des caïds de bas étage tu t’es toujours accouplée
Que d’oiseaux roses et blancs ne t’on défoncée
Il ne t’es besoin d’aller au restaurant
A chaque fin de baise le repas est compris dedans
Joues ta mijaurée…
Plus tard tu seras telle une loque rejetée
Tu regardes tous avec dédain…
Mais tu n’es qu’une pâle catin
Lorsque nul ne voudras plus de ton cu..oeur
Tu verseras dans la gente de couleurs
Prostituée tu ne l’es c’est certain
Tu es une véritable putain.
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