DU CANNABIS
Du cannabis je peu en consommer
Echapatoire d’une réalité
De violence et de profiteurs.
Toucher à autre serait un leurre
Mais je ne suis a mon vice enchaîné
Comme le fumeur et ses clous de cercueil
Comme l’alcoolique à ses visions trompe l’œil
Comme le médicamenteux à ses chimies pharmaceutiques
Qu’il donne à autrui pour s’en rassurer
Je plane, je suis sur une autre planète
Je m’isole de loin en loin
Mais je ne suis comme le bon vin
Je vieillis mal.
J’ai besoin des fleurs du mal
Pour rêver
Mais il y a une réalité
Avec son lot de violence policière
Et de simple violence
Moralité, ne réveille pas
Le chat qui dort.