AUX GROSSES
A toutes les grosses doudouiles
Tous ces amas gélatineux
Qui s’enrevassent à une paire de couilles.
Mais dont plus personne ne veut.
Ces gros tas de viande
Pour qui nul plus ne bande.
Ces corps adipeux
Qui nul ne sauraient rendre heureux,
Tant l’âme s’est aigrie.
Ces bien triste…Ex vidoirs,
Dont le ventre révèle toujours
Un enfant ou quelques maladies.
Ces nymphes en forme d’entonnoir.
Ces mastodontiques montagnes de fiente,
Ces clones de spaghetti trop al dente.
Seul leur compte d’engouffrer,
Jusqu'à l’égout boucher.
La tirelire à plaisirs,
Dont les portes vont se ressoudant,
A bien plus que des relent de merlan
Dus aux méandres celluliteux
Qui entre leur cuissage trop généreux,
Ont fait construire.
Leur stature leur fait tant de complexes
Qu’elles se FONT imposer des régimes.
Tout en s’imaginant retrouver une taille infime.
Toutes bites, elles laissent pourtant perplexe…
Se croyant de maigrir,
Elles se trampoline pour encore plus grossir
Et pourtant ces trop pleins d’intestins.
Font courir nombre de crétin
Pour tremper leur biscuit,
A quoi ne seraient prêt bien des demi cuits !
MAIS après tout, ces vénus en forme de boudin
Ne sont-elles aussi…des êtres humains ?