LA DOULEUR
L’amour propre est le plus grand des flatteurs
On se croit bon apôtre
Et que tout n’arrive qu’aux autres.
Mais pour chacun sonne l’heure.
TOUS les nœuds viennent au peigne.
Avec le courir de l’age
Il n’est douleurs que l’on ne feigne
Que l’on ai été méchant ou sage,
D’avoir trop abuser,
Tôt ou tard on va décompter.
Ainsi est le destin
Il n’y a pas de plus malin
Idiot ou savant que l’on se fit…
On se couche tel que l’on fait son lit !