il t'es devenu gène exhiber par peur de ce que le quand dira t-on pourrait exhorter et faire si que par mon biais tu te sente ridiculisée voir rabaissée. je te suis ainsi devenu honte ! tes habitudes ont quelque peu été perturbées par une "imposante" présence qui avec l'évolutivité du temps est devenue nuisance à ta quiétude. tout nouveau tout beau , mais le temps passe e fane toutes choses, d'occultées invectives sont devenues fur et à mesure grandissantes , le pain sur une planche , une cuisine adipeuse , au lit une si dérangeante présence , petit à petit j'en suis devenu une nuisance qu'il valait mieux éloigner de cette distance qui dès l'aurore de nos échanges a été signalé comme primaire ambiguïté la lontanaza e come il vento...petit à petit les mots doux se sont estompés , les clichés de leur juxtaposition se sont évadés , l'image de cette , bientôt et pourtant déja , chose sombre de plus en plus vers l'abime de l'oubli heurtant les écueils du regret.
et oui , hélas , je suis différent et conscient que s'en est à tes yeux dérageant , je ne puis me changer et encore moins m'améliorer , mais bien si empirer , tout prendra le laps de temps que l'on mettra pour me juger...et bien peu m'en est cure
notre diversification est un cratère ou nous serons trop souvent opposé , il est vain les énumérer tu ne saurais les totaliser , il y a cette pluie de sous entendus et de menaces , non tant feints , de réclusion à ma compagne la solitude , tu vas te retrouver seul , même plus téléphoner et j'en passe , tout ces mots qui à la longue telle une bombe au napalm ont la réflexion du jugement embrasé
ma fantaisie , cet univers que tu écrivais vouloir partager , t'as vite déchanté , de mythe j'en suis déchu à dérangement voir honte et bientôt immonde souvenir. la couleur avait été annoncée , mais tel st Thomas on se refuse à y croire , je ne suis le prince charmant , mais tu peu toujours te contenter du chameau que tu as même si il marche au viagra.