DIX ANS APRES
Dame nicotine ! D’avec toi
Gagnerais-je le combat ?
Huit mois il m’a fallu !
Pour que de toi besoin je n’aie plus eu.
Depuis je n’ais voulu te recotoyer,
Tant tu m’en a fait baver
Tu es une drogue dépendante
Tu rendis ma santé dégradante.
J’ai divorcé de toi !
Mais ! Qui a bu boira
Griffant les murs je t’ai quitté.
Pour a pire m’adonner.
Une dose de mon « anti-dote »
Est égale à sept de ta camelote
N’est-il mieux d’un peu planer
Qu’un poumon, chaque matin cracher.
SAINE ! je t’ai retrouvée
En d’arabesques fumées.
MAIS tu es une nymphomane,
Sans arrêt ton appel émane.
Je n’en omets que tu n’es que poisons
Qui nombre en enchaîne en ta prison
Grâce au manque de volonté
De ton prix…certains ne font que profiter.
Tu condamnes à une certaine mort
Mais que n’en sont partit
Sans JAMAIS t’avoir entre les mords.
Tu rend homme les adolescents
Il parait ! Que tu abîmes les non encore naissant
De tout temps ont t’a consomme
Et on n’en encore prêt de s’arrêter !
Qu’est-ce donc qu’un peu de contre publicité
Contre tes degrés de toxicité
Même SI tu ne m’es plus avenir,
Tu me restes bon souvenir
IL NE FAUT DIRE FONTAINE !
Mais je n’ai oublié toutes mes peines
De quelque chose il faut bien crever,
Mais non par des clous de cercueil se faire effacer…….