NOS DIEUX
Par la variation de nos humeurs
Notre temps est éconduit par nos joies et nos malheurs.
Nous mettons sur socle tel anonyme masqué,
Pour ne désocler notre perfide lâcheté !
Amours et merveilles on va se promettant !
MAIS…Autant en emporte le vent.
Le bonheur n’a que trop enfanté
Hargne et méchanceté.
Du passé on pouvait ne se souvenir
Désormais nous allons à reculons vers le futur !
Les sentiments se font rareté
Besoin est-il de nous entre tuer
Pour lier semblant de complaisance
Avec d’autre lois, d’autre croyance !
On se prétend tous frères ?
Mais bien différent est le son de nos prières.
On peu l’une à l’autre les différencier !
Mais à toute on ne saurait s’endoctriner.
Ce n’est toujours pas avec des fleurs
Qu’on fait taire les fusils mitrailleurs !
A l’heure ou peuple et nature ne font que révolte cogiter
Cela va-t-il de la déchéance nous sauver ?
Que de s’incliner, jeûner, ou d’une croix se signer !
Lors des persécutions et des exterminations
Étaient –ils sourd aux pleurs et lamentations !
Lorsque leurs peuples se guerroient et se vouent à de perpétuel exil !
NOS DIEUX…..OU SONT_ILS ?
Comment avoir foi en ce que l’on ne voit ?
Désormais athées ou fanatiques, savants ou inconscients ?
D’un pas assurer nous allons vers le néant.
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