UN TEMPS DE CHIEN
Ou sont-elles ses aubes à la douce saveur
D’une naissante journée ensoleillée ?
Aujourd’hui les réveils ne sont que douleurs
Occasionnées par les longues nuitées !
L’astre de feu à laissé place
A ce morne et incessant crachin.
Qui jusqu’au os glace
Et rend triste des le matin.
Faut-il de cette fossilisation s’ébouer
Ou composer son propre requiem ?
Quel cruel dilemme !
Pour quelle solution opter ?
Essayer vainement de rire avec les gens ?
Pour finir par leurs problèmes être submergé,
Cela est encore plus déprimant.
Autant dans ma solitude me perpétuer,
Utilisé une quelconque échappatoire
Et rester dans ma tour d’ivoire.
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