Balade pour Maria
Revoici la avant morte saison
Avec ses amours à peine naissantes
Et pourtant déjà mortes
Sans autre oraisons
Que des corps la fragrance changeante.
Et les amours qui n’ont jamais exister ?
Celle qui dont la force est si forte
Où il n’est permis que de rêver.
Bien qu’adultes vieillissants
Nous restons de grands enfants !
Moi qui ne suis jamais devenu grand,
Je t’aime énormement
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