A la mère triste.
Toi qui a perdu ta fille !
Une partie de ta vie
S’en est allée.
A jamais t’en a marquée.
Je ne puis que t’admirer
Silencieuxe tu sais rester
Devant tant de vanité
Que d’autres n’ont de cesse d’encenser.
Ne sont-ce fausses vérités ?
Ce qu’à la face, ils ne font que se jeter
Digne tu sais rester
Mais dans ta tête tu dois rêver.
A ce bonheur qui t’es plus échu.
Ils ce racontent ce qu’a mère aurait plu
Pour les enfants tant aimer,
Qui n’ont de cesse de les désillusionner.
La triste réalité
N’est que chimères à métamorphoser……
_________________