A MA MERE
O mère trop jeune et insensée
Des responsabilités tu n’as eu la pensée.
Ce manque affectif, que tu as délaissé
Pour aller t’amuser.
Bien trop tard tu as voulu l’aimer.
De lâcheté je ne peu t’accuser !
Mais quel amour veux tu que je te rende ?
Sinon la corde pour te pendre !
Trop de choses tu as oubliées,
A jamais en en moi elles sont marquées.
A mieux mourir je peu t’aider !
Mais comme mère je ne puis t’aduler.
Lorsque l’on a eu parents
Avares de sentiment !
Je ne peu payer toute une vie
La tienne non réussie.